Une espèce de serpent, qui se dit journaliste à l'AP (Associated Press) te sort une oeuvre journalistique qui démontre bien que la guerre contre la Résistance au Proche-Orient se fait sur tous les fronts:
"The clashes followed a defiant speech by Hezbollah leader Hassan Nasrallah, who said his Iranian-backed militant organization would respond with force to any attacks." (lire l'article de cette inconnue nommée Zeina Karam pour voir)J'aurais voulu entendre Hassan dire littéralement dans son discours: "Oui, mon organisation-militante-supportée-par-l'Iran répondra avec force..."
Si ce n'est pas une grotesque technique de tenter de relier l'image publique du Hezbollah avec celle de l'Iran, image qui s'est vue bien salie grâce à la propagande israélienne de cette fameuse phrase mal traduite d'Ahmadinejad (l'autre imbécile) qui est devenue, grâce à l'apport linguistique des agents de la propagande sioniste "Nous voulons rayer Israël de la carte"! (lire aussi cet article du Prison Planet)
C'est une vieille technique, mais qui marche toujours comme un charme.
Dans le même article, une encore plus vieille technique de propagande consiste à citer les belligérants dans un certain ordre, en mettant celui que tu n'aimes pas en premier, histoire de sous-entendre que c'est eux qui auraient commencé les hostilités, même si rien n'est moins vrai en réalité:
"BEIRUT, Lebanon - Shiite supporters of Hezbollah and Sunnis backing Lebanon's U.S.-allied government clashed on the streets of Beirut with automatic rifles and grenades on Thursday."Il est bien entendu tout aussi intéressant de remarquer l'utilisation de "Shiite supporters of Hezbollah", vu que l'on cherche soigneusement à salir ce nom, au lieu de tout simplement préciser "Amal", dont les voyous, au même titre que les voyous du PSP de Walid Joumblatt et que le célèbre comte Dracula, aiment le sang. Jusqu'à quand le Hezbollah gardera-t-il son sang-froid face à cette ultime provocation?
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